En avril, les principaux pays de l'hémisphère Nord entreront dans la phase de la saison de printemps, notamment le blé de printemps, le maïs, le riz, le colza, le coton et d'autres cultures majeures du printemps, ce qui favorisera la croissance de la demande d'engrais et rend le problème des contraintes d'approvisionnement mondiales en engrais plus important, ou affectera les prix mondiaux des engrais autour du degré de pénurie à court terme. En termes de production pour l'hémisphère sud, la véritable tension sur l'approvisionnement en engrais commencera vers le mois d'août de cette année, à partir du début de la culture du maïs et du soja au Brésil et en Argentine.
Mais ces attentes s'accompagnent de l'introduction d'une politique de sécurité d'approvisionnement en engrais par les multinationales, en verrouillant les prix à l'avance et en augmentant les subventions à la production agricole pour assurer une situation de production stable au printemps, allégeant le fardeau des intrants de production des agriculteurs, afin de garantir que la superficie cultivée des pertes au minimum. À moyen terme, vous pouvez voir au Brésil afin d'encourager les entreprises à augmenter leur capacité de production, et de manière à promouvoir les méthodes de mise en œuvre du New Deal pour l'extraction d'engrais nationaux telles que les matières premières, pour parvenir à réduire la dépendance à l'égard des importations d'engrais nationaux.
Le coût actuel élevé des engrais a été pleinement pris en compte dans le coût réel de la production agricole sur le marché international. Cette année, le prix du contrat d'approvisionnement en potasse en Inde a fortement augmenté de 343 $ par rapport à celui de l'année dernière, atteignant un sommet en 10 ans ; Son niveau d'IPC intérieur a atteint 6,01 % en février, au-dessus de son objectif d'inflation à moyen terme de 6 %. Dans le même temps, la France a également estimé la pression inflationniste provoquée par la hausse des prix des produits alimentaires et de l'énergie et a fixé son objectif d'inflation dans une fourchette de 3,7 à 4,4 %, bien au-dessus du niveau moyen de l'année dernière. Essentiellement, le problème de l’approvisionnement restreint en engrais chimiques reste le prix toujours élevé des matières premières énergétiques. La volonté de production des fabricants d'engrais chimiques dans divers pays, sous la pression des coûts élevés, est relativement faible et, au lieu de cela, l'offre augmente et l'offre dépasse la demande. Cela signifie également qu'à l'avenir, la spirale inflationniste formée par la transmission des prix sera encore difficile à atténuer dans un court laps de temps, et l'augmentation des intrants de production agricole sous la superposition des coûts des engrais n'est qu'un début.
Heure de publication : 25 mars 2022